La Journée des Etudiants Finalistes des Groupes Bibliques des Elèves et Etudiants du Mali (GBEEM) commence entre désormais dans les habitudes, en témoigne la tenue de la troisième édition le 5 août 2017 au siège du mouvement avec la participation d’une vingtaine d’étudiants.
Le monde de l’Ami du GBU est essentiellement dominé par la vie professionnelle dont les défis sont différents de ceux de la vie jusqu’ici menée par ces jeunes Amis. Par une exhortation tirée du livre de Daniel, le Secrétaire Général a montré qu’une vie professionnelle réussie tient à la fermeté de la foi, à la conviction en la présence de Dieu et à l’intégrité. Il a également profité pour rappeler les droits et devoirs de l’Ami du GBU.
Pour aider les jeunes Amis à réussir leur insertion professionnelle, il a été projeté une vidéo intitulée « 20 questions pièges à éviter en entretien d’embauche ». Les questions suscitées par l’élément visuel ont été discutées. Parlant d’insertion professionnelle, le S.G. a souhaité que ses auditeurs soient sensibles à un éventuel appel du Seigneur pour l’encadrement des groupes soit court, moyen ou long terme.
S’en est suivi un moment de témoignages relatifs à l’impact des GBEEM dans le parcours scolaire, académique, spirituel et social de quelques participants. Adama DOUGNON a souligné l’apport considérable des GBEEM dans sa vie de prière, de lecture et de méditation de la parole de Dieu. Quant à Marie POUDIOUGO, abondant dans le même sens, elle a mis en exergue la contribution des études bibliques dans son épanouissement spirituel. C’est par une question de rhétorique que Daniel Coulibaly introduit l’impact des GBEEM sur sa vie : « Je me demande ce que ce Daniel serait devenu sans les GBEEM à la faculté de médecine » avant de répondre « Grace aux GBEEM, j’ai eu de l’engouement pour l’évangélisation et je ne perds pas d’occasion pour parler de Jésus à mes amis non chrétiens ».
C’est sur une note d’actions de grâces, de supplications et de communion fraternelle que prit fin la rencontre. Le rendez-vous est pris pour la quatrième édition, l’année prochaine.
Amadou YALCOUE