A cause des travaux de rénovation sur le campus, le GBU Lomé est poussé vers la sortie. Mais il est encore plus présent aujourd’hui à l’Université de Lomé. Depuis le groupe n’a plus de lieu fixe pour ses rencontres. Cependant, le Seigneur continue de transformer plusieurs vies d’étudiants à travers le mouvement GBU au Togo. Cette œuvre n’est pas sans défi surtout à l’Université de Lomé. Cette Université qui a accueilli le premier groupe GBU du Togo, semble aujourd’hui hostile à la présence de ce groupe.
Richard DOUSSI, Président du GBU Lomé affirme : « Nous avons des membres dans les cellules mais nous ne nous connaissons pas parce qu’il n’y a pas un point de rencontre générale. »
Pour pallier ce problème, les différentes cellules se retrouvent dans des reposoirs, parfois sur des briques de pierres et même par terre avec des pagnes sur le sol, etc.
Toutefois, c’est merveilleux de voir l’œuvre avancer avec plus de vies touchées dans ces conditions difficiles. Aujourd’hui Richard et son équipe travaillent à rendre plus dynamiques les cellules existantes tout en créant de nouvelles.
Naomi, étudiante en Faculté des Sciences, nouvelle membre du GBU Lomé, nous raconte : « J’ai rencontré des frères et sœurs en Christ qui m’encouragent dans ma foi. Avec les réunions, j’ai aussi gagné en connaissance à travers les Interactions avec les Écritures. Cela ne me dérange pas de faire des réunions sous des arbres, j’aime ces moments. »
Notons que cette situation a touché tout le mouvement national qui s’active pour mobiliser 90 millions de Francs CFA pour acquérir un terrain proche de l’Université. Ce lieu assez stratégique permettra d’offrir une maison GBU aux étudiants et à tous les membres et de toucher plus d’étudiants.
Yao Benjamin EZIAN-GNAMAVO
Point focal GBU Togo